Livres parlés sur disque
Mabel Eaglestone trie des disques longue durée dans le service de prêt de la Bibliothèque de l’INCA. Vers 1960, mais habituel pendant la décennie précédente.
Mabel Eaglestone trie des disques longue durée dans le service de prêt de la Bibliothèque de l’INCA. Vers 1960, mais habituel pendant la décennie précédente.
Un membre du personnel de l’INCA forme un client sur l’utilisation d’une CCTV qui projette une impression agrandie sur un écran de télévision à partir d’un scanneur connecté.
Irène Côté, une enseignante à domicile, de la division du Québec, transcrit la musique en braille. Sa main droite crée une nouvelle feuille en braille, tandis que sa main gauche lit une feuille de braille existante.
Lié à un dispositif de lecture à carte perforée IBM, la machine à graver en braille permet de produire automatiquement les plaques métalliques utilisées pour imprimer des livres en braille. Les cartes perforées dans une langue braille compliquée sont traduites directement à partir du texte anglais par un ordinateur IBM 704
M. R. Robitaille, service de transcription de musique enbraille, transcrit de la musique imprimée à l’aide d’une machine braille manuelle
Robert Robitaille, à Montréal, superviseur du service de transcription musicale, transcrit de la musique imprimée en braille
Dr Charles Carruthers et Mlle Dorothy Mitchell dans la salle de lecture.
L’équipement d’impression en braille de la Bibliothèque de l’INCA, situé au centre du département d’édition au 146, rue Beverley.
L’imprimerie en braille à Montréal était située au sous-sol du 1181, rue Guy. Jacques Talbot est au premier plan assis devant un stéréotype en 1969.
Quatre garçons et filles aveugles reçoivent des instructions en braille à St. John’s, Terre-Neuve